Diplomatic transcription of the letter | Cher Henri Barraud,
Paul [Gilson/Gibson?] m’apprend à l’instant même
que vous avez l’intention de rediffuser Julietta, l’opera de Martinu,
et je ne veux pas attendre une minute de plus pour vous dire
à quel point cette initiative de votre part ne va au coeur.
[?] au coeur, [?] je pense autone – et même plus – à mon vieil ami Martinu qu’à moi.
J’aurais aimé vous le dire de vivre voix. Ce sera, j’espère, pour bientôt.
Je vous demande, cher Henri Barraud, de me croire bien amicalement à vous
G. NV
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