Cher Henry Barraud, j’etais au la route dimanche, à l’heure où l’on donnait votre Symphonie. Je n’ai pas pu l’entendre ni de près ni de loin, et je le regrette beaucoup. Je le regrette d’autant plus que le journal d’hier m‘apprend que Webern et vous avez été „discuté“. J’en conclus que votre Symphonie est une oeuvre importante et dans laquelle vous avez mis beaucoup de non-même. J’espère que j’aurai bientôt encore l’occasion de l’entendre. Vous savez que j’aime votre musique. Croyez moi, cher Henry Barraud, bien cordialement votre Georgs Neveux
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